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ANNALES D1 IMMUNOLOGIE 2013 – 2024
IMMUNOPATHOLOGIE ET IMMUNOINTERVENTION - Annales JANVIER 2013 1. Le ganglion : A. Est le lieu où se développe la réponse immunitaire B. Son augmentation de volume peut être lié à une réaction inflammatoire C. Une origine cancéreuse représente moins du quart des étiologies des adénopathies D. La zone dite du manteau est centrale dans le ganglion E. Après le contact antigénique, le follicule primaire devient follicule secondaire 2. Les lymphomes A. Sont en partie classés sur leurs ressemblances avec leur contrepartie lymphocytaire normale B. L’immunosuppression est un facteur de risque de développement de lymphomes C. Les stimulations antigéniques répétées et de longue durée sont un facteur de risque de développement de lymphome D. Sont en majorité d’origine lymphocytaire T E. Le CD20 est exprimé chez moins de 50 des lymphomes B 3. Le virus Epstein Barr : A. Infecte les lymphocytes B B. Est responsable de la mononucléose infectieuse C. Est responsable du développement de lymphomes notamment en cas de déficit immunitaire D. Après la primo infection, un très faible pourcentage de lymphocytes T reste infecté durant toute la vie E. Présente divers types de latences 4. Quel est ou quels sont l’ (les) allergène(s) responsable(s) de sensibilisations susceptibles de contre indiquer certaines vaccinations ? A. Poils de chat B. Protéines d’œuf C. Acariens D. Cyprès E. Aucune des réponses ci-dessus 5. Chez un enfant ayant reçu les deux premières injections de vaccin anti-tétanique, quel retard dans l’administration de la troisième injection peut-il imposer de recommencer tout le cycle de vaccination ? A. Deux mois B. Six mois C. Un an D. Deux ans E. Aucune des réponses ci-dessus n’est exacte 6. Parmi les vaccins ci-dessous, lequel ou lesquels est (sont(-il(s) formellement contre indiqué(s) devant la suspicion d’un déficit immunitaire ? A. Vaccin anti tétanique B. Vaccin anti poliomyélitique (Sabin) C. BGG D. Coqueluche (vaccin acellulaire) E. Vaccin anti diphtérique 2/57
IMMUNOPATHOLOGIE ET IMMUNOINTERVENTION - Annales 7. Les maladies auto-immunes : A. Peuvent atteindre plusieurs organes B. Sont des maladies multifactorielles C. Evoluent le plus souvent sur un mode aigu D. Représentent un problème de santé publique E. S’accompagnent de lésions cellulaires ou tissulaires 8. L’auto-immunité : A. Est associée à une rupture de la tolérance au soi B. Aboutit toujours à une maladie auto-immune C. Est étroitement contrôlée chez l’individu sain D. Fait intervenir des auto-antigènes et des lymphocytes auto-réactifs E. Peut être étudiée sur des modèles animaux 9. Les facteurs pouvant participer à une auto-immunité pathologique sont : A. Un fond génétique de susceptibilité à une maladie auto-immune B. Une exposition à certains agents physico-chimiques C. Un traumatisme tissulaire D. Une exposition à des agents infectieux E. Encore totalement inconnus 10. Les cellules auto-réactives ignorantes peuvent être activées : A. Lors de la libération d’auto-antigènes séquestrés B. En cas de démasquage d’épitope cryptiques C. Seulement chez la femme D. En l’absence de signaux de co-stimulation E. Seulement s’il existe un déficit immunitaire 11. Les auto-anticorps : A. Peuvent être détectés dans le sérum par des techniques ELISA B. Peuvent induire une cytolyse de la cellule cible C. Peuvent être seulement un marqueur de maladie auto-immune D. Sont le plus souvent d’isotype IgA E. Sont produits par des lymphocytes T auto-réactifs 12. Sont des maladies auto-immunes : A. Le diabète de type 2 non insulino-dépendant B. La maladie de Biermer C. La polyarthrite rhumatoïde D. Le syndrome de Gougerot-Sjögren E. La maladie de Parkinson 13. Les facteurs suivants peuvent intervenir dans l’évolution d’une maladie auto-immune : A. Les rayonnements solaires ultra-violets B. La prise d’oestro-progestatifs oraux C. L’exposition répétée à certains produits chimiques D. L’intoxication tabagique E. L’existence d’une grossesse évolutive 3/57
IMMUNOPATHOLOGIE ET IMMUNOINTERVENTION - Annales 14. Sont en faveur du rôle pathogène d’un auto-anticorps : A. Le parallélisme entre le taux d’anticorps circulant et l’activité de la maladie B. L’efficacité thérapeutique des plasmaphérèses C. Le transfert materno-fœtal de la maladie à laquelle il est associé D. La transmission passive de la maladie à un animal par le sérum E. Son titre élevé 15. L’activation d’un lymphocyte T naif nécessite : A. L’activation de la molécule CD28 B. L’activation de la molécule CTLA-4 C. La production de facteurs immunosuppresseurs D. Deux signaux E. Peut-être ciblée par les médicaments immunosuppresseurs 16. Les mécanismes d’échappements au système immunitaire dans les cancers : A. Sont retrouvés au niveau de la tumeur B. Dépendent du microenvironnement tumoral C. Sont uniquement causés par la mort cellulaire D. Impliquent des précurseurs myéloides E. Peuvent être améliorés par des drogues 17. Parmi les affirmations suivantes concernant les molécules de co-signalisation des réponses immunes, lesquelles sont exactes ? A. Elles peuvent être bloqués par des anticorps monoclonaux B. Elles inhibent les réponses immunes C. CTLA-4 est le prototype des molécules de cosignalisation D. Leurs récepteurs sont portés par le microenvironnement tumoral 18. Parmi les affirmations suivantes concernant les différentes catégories d’antigènes associés aux tumeurs, lesquelles sont exactes ? A. Les antigènes associés aux tumeurs sont la cible de vaccins thérapeutiques B. Les antigènes associés aux tumeurs sont associés au développement de la tumeur C. Un vaccin peut être un peptide D. Les antigènes viraux ne sont pas des antigènes associés aux tumeurs E. MAGE est un antigène associé aux tumeurs 19. Parmi les agents suivants, indiquez-en deux qui sont des immunosuppresseurs utilisés dans la prévention des rejets au cours des transplantations d’organes : A. Ciclosporine B. Tacrolimus C. Doxicycline D. Digoxine E. Rituximab 20. La néphropathie chronique : A. Est due aux monocytes et polynucléaires B. Est associée à l’incompatibilité HLA C. Est due aux immunosuppresseurs D. Correspond à une réponse immune du patient contre le greffon E. Est associée à la pathologie initiale 4/57